VOUS POUVEZ CLIQUER UNE FOIS SUR LA PHOTO DE VOTRE CHOIX POUR L'AGRANDIR !

VOUS ME PERMETREZ D'OUVRIR LES PORTES DE LA SECTION DE MONTGERON AUX DEBATS

ET TENTATIVES D'AIDE AUX MALADES HAPPES PAR CET ENGRENAGE QUI BIEN SOUVENT SE DECUPLE UNE FOIS SEVRE D'ALCOOL .

LE CHEMIN VA ÊTRE ENCORE LONG!!!!!

QUE L'ON NE VIENNENT PAS ME DIRE QU'IL EST DIFFERENT DE CELUI QUI MÊME A L'ABSTINENCE

DE BOISSON ALCOOLISEES.....

CELA EST DU PAREIL AU MÊME!!!!!!

IL N'EXISTE POUR CE POISON AUCUN TRAITEMENT DE SUBSTITUTION!!!!!!!!!!

Graines hybrides de Hollande

Le "sum", très mou, très poudreux et de couleur marron foncé/noir, est deux à trois fois plus cher que la résine classique. Acheté 1 000 euros/kilo en Espagne, il se revend 3 à 4 000 euros à Lyon. Certains disent que l'herbe, de laquelle est issue la résine de cannabis, pourrait provenir de plantes hybrides surpuissantes mises au point aux Pays-Bas. Au pays des coffee-shop, on peut acheter en vente libre des dizaines de variétés de graines, qui donnent de l'herbe au taux de THC TRES ELEVE

             CANNABIS 10 questions essentielles , interview du docteur Léon  Hovnanian

Le président du Comité national d'information sur la drogue répond aux questions que l’on se pose sur le cannabis :

 

1  Certains prétendent que le cannabis est une drogue douce  et sans danger.

C'est une drogue ou ce n’est pas une drogue. Le terme "drogue douce"  est un terme de marketing inventé pour banaliser l’usage du cannabis, "produit d'accroche" aux stupéfiant  pour les jeunes.
              Le cannabis a les deux caractéristiques d'une drogue :

  • il crée une dépendance physiologique, c'est-à-dire  l'esclavage au produit.
  • il perturbe le fonctionnement du cerveau avec une altération du raisonnement, de la mémoire et de la volonté,avec des troubles du comportement et la déstructuration  de la personnalité.

2  Pourtant, le haschisch n'a jamais tué personne...

Vous oubliez les jeunes qui, chaque semaine, se tuent ou tuent  au volant de leur voiture ou de leur moto. Or, le cannabis seul  est cause de 14 % des accidents mortels, de 27 % chez les 16 à 35 ans

( statistiques 2003 sur 4 073 accidents).
 Et ceux qui meurent d'overdose par héroïne, Subutex... ou de maladies intercurrentes, comme le sida et l'hépatite... car l'escalade vers les autres drogues est une réalité clinique et scientifique.


 La "mort sociale" est, elle, encore plus grave : elle exclut, chaque année, 45 000 jeunes, garçons et filles  de 15 à 18 ans.

3  Que penser des vertus thérapeutiques du cannabis ?

 

Quel rapport entre les effets thérapeutiques du cannabis sur un symptôme secondaire de quelques maladies (sida, cancer, sclérose en plaques...) et l'usage toléré du  cannabis par les jeunes, au préalable en bonne santé ?


        Une étude américaine de 2005 a montré que,même dans ces maladies, les effets positifs du cannabis étaient inférieurs à six autres familles de médicaments déjà sur le marché.

Lesquels n'avaient pas les effets secondaires nocifs du cannabis sur le cerveau.

 

4    Libéraliser le cannabis ne permettrait-il pas d'en réduire  la consommation ?

Les Suédois, dès 1970, sur les conseils de leurs  psychosociologues, ont cru en la véracité de ce cliché et ont décidé la vente libre du cannabis avec l'assurance qu'ils en contrôleraient ainsi l'usage.

Et que, de surcroît, cela réduirait les violences inhérentes au trafic.
              Résultat : en 1980, le gouvernement suédois a été confronté à une explosion de la toxicomanie chez les jeunes : 14,7 % de nouveaux "accros" par an et augmentation parallèle de la violence.

L'usage de la drogue abaisse le  seuil de conscience, lève les inhibitions et ouvre la voie à la violence.
Suite à cela, la Suède a adopté la loi la plus  répressive d'Europe et 1a mise en oeuvre d'une prévention systématique qui, en quinze ans, a ramené le nombre de cas nouveaux à 3,7 %, soit une diminution significative   de 50 %.
              Pour mémoire, en 1980, la France était au rythme de 2 % l'an et aujourd'hui de 6 % d'esclaves de la drogue, en plus, chaque année.

 

5 Pourquoi  interdire le cannabis quand la drogue est présente partout  dans le monde ?

Il est vrai que, de tout temps, l'homme a eu recours à des produits psychotropes (vins et plantes) pour tricher et essayer d'avoir force, talent et bonheur, sans effort, mais sans y réussir.               Mais faut-il baisser les bras, d'autant plus qu'il s'agit aujourd'hui de l'intoxication en masse d'enfants de 11 à 14 ans ?

N'est-ce pas le rôle d'adultes responsables d'apprendre aux jeunes que c'est seulement en faisant des efforts qu'ils se construiront un avenir heureux ?
              Les jeunes doivent savoir que les drogues n'apportent pas le bonheur, mais le malheur :

  il n'y a pas de drogués heureux.

  Les drogues ne donnent pas le talent, mais la déchéance.

    Elles ne rendent pas libres, mais esclaves.

 

6    Un fumeur de cannabis est-il forcément un drogué ?

Il n'y a pas d'égalité physiologique devant les   produits quels qu'ils soient. Mais il faut savoir que, sur quatre  jeunes usagers réguliers de cannabis, un pourra continuer  à le faire, sans grand dégât pour sa sant  et son avenir; un autre deviendra "accro", exclu de la  société.

Quant aux deux autres, dont l'évolution sera moins rapide, ils s'arrêteront, en constatant les dégâts chez celui qui est devenu dépendant avant eux!

 

7 "Tuerait-on" le trafic en légalisant le cannabis ?

La fin de la prohibition de l'alcool aux Etats-Unis, en 1932 a-t-elle supprimé l'alcoolisme et mis fin au développement de la mafia ?

Celle-ci se taille une place de plus en plus forte  dans le monde : prostitution, drogue, racket en tous genres, avec  utilisation de la violence, contrebande du tabac et, depuis plusieur décennies, invasion de l'économie par l'argent sale des trafics en tous genres.
              Si demain on légalise la vente du cannabis, on supprimera  dans un premier temps le trafic. Mais ensuite, on pourra constater une augmentation de la consommation du cannabis et une augmentation  des troubles de la santé.

 

8 Quel discours peuvent tenir ?

Que la santé est un bien  précieux, et qu'elle est en danger. dès le plus jeune âge. Il faut               également réfuter avec force tous les arguments de  banalisation

 

9 Et si un consommateur ne veut pas arrêter de se droguer ?

S'il prétend qu'il n'est pas dépendant et qu'il  peut s'arrêter quand il veut,

il faut lui répondre qu'il le démontre en s'arrêtant tout de suite pour un mois.

S'il rétorque que, pour le moment, il n'en voit pas l’utilité, il faut essayer de lui faire prendre               conscience qu'en fait, il ne le peut pas, car il est déjà esclave et se ment à lui-même.
              Il faut surtout savoir que c'est rarement dans un seul dialogue  que l'on obtient qu'il s'arrête.

Il faut se garder d'élever la voix et toujours bien lui montrer que c'est par amour pour lui  que l'on essaie de le guérir.

La toxicomanie n'est pas une maladie honteuse, mais une maladie grave dont il est normal 
              II faut être patient, décidé. Le discours doit  s'adapter au caractère différent de chaque consmmateur. 

              
       10    Peut-on demander l'aide d'un spécialiste ?

Oui, à la condition qu'il ne vous dise pas que "ce n'est pas grave et qu'un peu de cannabis n'a jamais fait de mal  à personne" ou "que le produit n'est pas en cause, mais la maladie, sa famille ou la société".
              Dans de rares cas, la psychiatrie est utile mais, dans la majorité  des cas, inutile.

 Dans l'état actuel de nos connaissances en pharmacologie, il n'y a aucun médicament actif ,

seul le sevrage guérit.

 

ON PEUT AJOUTER QUE LE TAUX DE THC (molécule de cannabis)

EST PASSE DE 4 % environ A 35 % PAR JOINT FUME

ET CELA EN UNE TRENTAINE D'ANNEE D'OU DES EFFETS EMPLIFIES

Définitions

 

Le cannabis ou chanvre indien est une plante. Le principe actif du cannabis responsable des effets psychoactifs est le THC (tétrahydrocannabinol), inscrit sur la liste des stupéfiants. Sa concentration est très variable selon les préparations et la provenance du produit.

L'herbe (marijuana, ganja, beuh, etc.). 
Ce sont les feuilles, tiges et sommités fleuries, simplement séchées et éventuellement écrasées. Elles se fument généralement mélangées à du tabac, roulées en cigarette souvent de forme conique ("joint", "pétard"...). La teneur en THC varie en fonction de l’espèce, de la maturation de la plante et de la méthode de culture.

La résine (haschisch, hasch, shit, chichon, etc.). 
Elle est obtenue à partir des sommités fleuries de la plante. Elle se présente sous la forme de plaques compressées, barrettes de couleur verte, brune ou jaune selon les régions de production et se fume généralement mélangée à du tabac : "le joint".

Quelque soit sa forme, résine ou herbe, le haschich peut être coupé avec des substances plus ou moins toxiques, on peut trouver par exemple : du henné, du cirage, de la paraffine mais aussi du sable, de la farine, de la silice ou des microbilles de verre.

L'huile 
C’est une préparation plus concentrée en principe actif, consommée généralement au moyen d'une pipe. Son usage est peu répandu en France.

 

 

Effets et risques

 

Les effets immédiats

Les consommateurs recherchent un état de détente, de bien-être et une modification des perceptions (par exemple, sensation de mieux entendre la musique). Mais les effets recherchés ne sont pas toujours obtenus.

Les effets de la consommation de cannabis sont variables : légère euphorie accompagnée d'un sentiment d'apaisement, légère somnolence. Mais elle peut entraîner aussi parfois un malaise, une intoxication aiguë ("bad trip") qui peut se traduire par des tremblements, des vomissements, une impression de confusion, d'étouffement, une angoisse très forte.

Le cannabis diminue les capacités de mémoire immédiate et de concentration chez les consommateurs, tant qu'ils sont sous l'effet du cannabis. La perception visuelle, la vigilance et les réflexes sont également modifiés. Ces effets peuvent être dangereux si l'on conduit une voiture ou si l'on utilise des machines (machines-outils par exemple).

Selon la personne, la quantité consommée et la composition du produit, le cannabis peut avoir des effets physiques comme :

  • un gonflement des vaisseaux sanguins (yeux rouges) ;
  • une augmentation de l'appétit (fringales) ;
  • une augmentation du rythme du pouls (palpitations) ;
  • une diminution de la sécrétion salivaire (bouche sèche) ;
  • parfois une sensation de nausée.
  • une crise de paranoïa

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Les effets d'une consommation régulière

Certains effets sont loin d'être anodins et révèlent un usage problématique, donc nocif :

  • difficultés de concentration, difficultés scolaires ;
  • préoccupations centrées sur l'obtention et la consommation du produit, isolement social et perte de motivation ;
  • risques pour l'usager et son entourage, liés aux contacts avec des circuits illicites pour se procurer le produit ;
  • chez certaines personnes vulnérables, le cannabis peut engendrer ou aggraver un certain nombre de troubles psychiques comme l'anxiété, la panique et favoriser la dépression. Il peut aussi provoquer l'apparition d'une psychose cannabique : il s'agit d'une bouffée délirante qui nécessite une hospitalisation dans un service spécialisé. Le cannabis est également susceptible, chez les sujets prédisposés, de révéler ou d'aggraver les manifestations d'une maladie mentale grave, comme la schizophrénie.

Il existe également un réel risque respiratoire. La fumée du cannabis contient des substances cancérigènes comme celle du tabac : elle est donc toxique pour le système respiratoire. L'association du tabac et du cannabis entraîne des cancers du poumon plus précoces que le tabac seul. Les risques respiratoires sont amplifiés dans certaines conditions d'inhalation (pipes à eau, "douilles").

Une dépendance psychique est parfois constatée lors d'une consommation régulière et fréquente : les préoccupations sont alors centrées sur la recherche, l'achat et la planification des consommations.

COUPAGE!!!!!!

 

Du verre dans de la résine , il n'en fallait peut-être pas plus pour que deux personnes se retrouvent à l'hôpital. Ces cas de "pathologies respiratoires sérieuses" possiblement liées à la consommation d'herbe de cannabis coupée avec des microbilles de verre ont été signalées en  Ile de France.

Dans un communiqué, la Direction générale de la santé recommande aux personnes ayant consommé du "cannabis et ressentant des symptômes inhabituels (sensation de brûlure de la bouche ou de la gorge, gêne respiratoire, voire crachats de sang) de consulter rapidement leur médecin traitant" (informations au 0 820 03 33 33, 0,12€/mn). A la Direction générale de la santé, on précise que le lien entre les deux cas de pneumonie et cette herbe coupée avec des microbilles n'est pas encore prouvé, mais que "seul un arrêt de toute consommation élimine le risque".

Un "produit défectueux"

La société de pneumologie de langue française a elle publié un communiqué ajoutant que "la consommation de cannabis coupé, constatée en France et en Belgique depuis quelque mois (à partir de 2006) pourrait induire des problèmes respiratoires" de type fibrose pulmonaire, même si "non constatés jusqu'à ce jour".

Du cannabis coupé avec des microbilles de verre circule actuellement sur le marché français. La première saisie remonte à l'été 2006. Ce "produit défectueux" circule entre la France, la Belgique et l'Angleterre, précise-t-on à la Direction générale de la santé. L'ajout de microbilles a essentiellement pour but de lester le produit et en augmenter les profits, tout en lui donnant un aspect scintillant, typique des herbes riches en résine de cannabis.

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